Notre travail porte sur une recherche sensible au contexte mouvant dans lequel nous nous situons. L’intérêt du bureau pour une forme de continuité et de contextualisation de l’architecture, liée en outre aux ressources locales, ainsi que son attachement aux aspects environnementaux, nous amène à chercher la justesse des moyens à employer, afin de développer, pour chaque projet, de propositions spécifiques, sensibles et durables. Nous cherchons à comprendre et à considérer les spécificités du lieu comme un enjeu de projet.
Ces particularités, du « déjà-là », sont à la fois liées aux ressources locales et matérielles ainsi qu’au contexte morphologique, des formes urbaines existantes et aux spécificités du paysage. Cette approche trouve ses racines dans une formation académique suivie à Lisbonne et à Milan, et d’une longue pratique à Genève, enrichie par une recherche sur la mémoire des lieux en architecture, menée sous accompagnement des professeurs Bruno Marchand, à l’EPFL et Pedro De Abreu, à la FAUL. En outre, la coexistence de deux réalités architecturales distinctes – entre le Portugal et la Suisse Romande, contribue à l’élaboration d’une réflexion personnelle très propre à soi. Cette dyade agit comme un mécanisme d’engrenage où chaque élément est indispensable à l’autre pour avancer.
La diversité, la pensée collective ainsi qu’une architecture développée en collaboration, entre collègues et spécialistes, est pour Mar Atelier, autant un désir qu’une motivation. L’adaptation constante et l’investissement dans un travail « à plusieurs mains » et résultant d’une collaboration multidisciplinaire sont au cœur de notre travail. De manière similaire, l’enseignement contribue également à la construction et à la solidification de notre récit. L’investissement académique de Maria Cunha, depuis 2019 et plus récemment de Mar Atelier dans des HES et EPF en suisse romande et à Lisbonne, mise sur une complémentarité entre la théorie et la pratique en laquelle le studio croit fermement et sous-tend une attitude éveillée et curieuse.
maria
joão cunha
architecte
faul oa sia reg a
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maratelier.ch
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+41 (0) 21
218
95
01
| 1–20 | mar atelier |
| 2 | Esquisse, mar atelier |
| 3 | Vue aérienne Troia, mar atelier |
| 4 | Maquette, mar atelier |
| 5 | Maquette, mar atelier |
| 6 | Esquisse, mar atelier |
| 7 | Plan, mar atelier |
| 8 | Maquette, M. Cunha, E. Barreto |
| 9 | Image, Thomas Sponti |
| 10 | Image, Thomas Sponti |
| 11 | Maquette, atelier 703 |
| 12 | Plan, Collectif BAME |
| 13 | Plan, Collectif BAME |
| 14 | Plan, atelier 703 |
| 15 | Maquette, atelier 703 |
| 16 | Référence, Archive Fernando Távora |
| 17 | Photographie, Hiroshi Sugimoto |
Notre travail porte sur une recherche sensible au contexte mouvant dans lequel nous nous situons. L’intérêt du bureau pour une forme de continuité et de contextualisation de l’architecture, liée en outre aux ressources locales, ainsi que son attachement aux aspects environnementaux, nous amène à chercher la justesse des moyens à employer, afin de développer, pour chaque projet, de propositions spécifiques, sensibles et durables. Nous cherchons à comprendre et à considérer les spécificités du lieu comme un enjeu de projet.
Ces particularités, du « déjà-là », sont à la fois liées aux ressources locales et matérielles ainsi qu’au contexte morphologique, des formes urbaines existantes et aux spécificités du paysage. Cette approche trouve ses racines dans une formation académique suivie à Lisbonne et à Milan, et d’une longue pratique à Genève, enrichie par une recherche sur la mémoire des lieux en architecture, menée sous accompagnement des professeurs Bruno Marchand, à l’EPFL et Pedro De Abreu, à la FAUL. En outre, la coexistence de deux réalités architecturales distinctes – entre le Portugal et la Suisse Romande, contribue à l’élaboration d’une réflexion personnelle très propre à soi. Cette dyade agit comme un mécanisme d’engrenage où chaque élément est indispensable à l’autre pour avancer.
La diversité, la pensée collective ainsi qu’une architecture développée en collaboration, entre collègues et spécialistes, est pour Mar Atelier, autant un désir qu’une motivation. L’adaptation constante et l’investissement dans un travail « à plusieurs mains » et résultant d’une collaboration multidisciplinaire sont au cœur de notre travail. De manière similaire, l’enseignement contribue également à la construction et à la solidification de notre récit. L’investissement académique de Maria Cunha, depuis 2019 et plus récemment de Mar Atelier dans des HES et EPF en suisse romande et à Lisbonne, mise sur une complémentarité entre la théorie et la pratique en laquelle le studio croit fermement et sous-tend une attitude éveillée et curieuse.
| 1–20 | mar atelier |
| 2 | Esquisse, mar atelier |
| 3 | Vue aérienne Troia, mar atelier |
| 4 | Maquette, mar atelier |
| 5 | Maquette, mar atelier |
| 6 | Esquisse, mar atelier |
| 7 | Plan, mar atelier |
| 8 | Maquette, M. Cunha, E. Barreto |
| 9 | Image, Thomas Sponti |
| 10 | Image, Thomas Sponti |
| 11 | Maquette, atelier 703 |
| 12 | Plan, Collectif BAME |
| 13 | Plan, Collectif BAME |
| 14 | Plan, atelier 703 |
| 15 | Maquette, atelier 703 |
| 16 | Référence, Archive Fernando Távora |
| 17 | Photographie, Hiroshi Sugimoto |
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maria joão cunha
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du tribunal-fédéral 2
CH–1005 lausanne
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